C'est toujours avec émotion et gratitude que j'évoque le souvenir de Monsieur Letendre. Car j'ai eu la chance de l'avoir
comme professeur de musique pour l'harmonie, le contrepoint et la fugue. Plus le bonheur de partager son entourage pendant
plusieurs années pour y prendre aussi des cours de vie et d'humanisme. La meilleure part de lui-même n'est pas morte et ne
mourra jamais. Elle me sert à chaque fois que je prends la plume pour composer. Et, derrière des morceaux comme la « Valse
pour l'Echappée Belle », il y a tout ce passé qui travaille dans l'ombre…
Jean Chatillon, 22 mars 2004
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